La Terre du Milieu : Chroniques du Quatrième Âge
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 Yburiath

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4 participants
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MessageSujet: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 1:33

Nom :
Yburiath, de la tribu abandonnée.

Race :
Elfe.

Age :
Nul ne mesure plus le temps pour Yburiath. Un fin linceul recouvre pars de vie et souvenirs errants, laissant seulement apparaître quelques visages, l’espace d’une seconde. Des visages anciens, amplis de sagesse. Mais lointains, si lointains, qu’ils donnent le vertige.

Force :
Tangence infime. Telle l’infirme appuyé sur sa canne, Yburiath laisse entrevoir sa contradiction.

Pays :
Beleriand.

Description physique :
Rude et indomptable, est la chevelure couleur d’écorce qui pare le visage de la rôdeuse. Initiée aux aléas du temps et de l’espace, elle n’est plus que paille négligente, venant lécher les pores pleines d’ancienneté de sa propriétaire. De ses yeux d’ébène, émane le talent d’observation de celle qui a été témoin de grands moments de l’Histoire, aussi futiles paraissent ils au premier abord. Des mains usées, parées d’ongles salis par temps, possèdent la dextérité et l’endurance de tout guerrier de carrière, alors que des oreilles torturées par l’âge portent pour toujours la marque du frôlement de flèches meurtrières.
De tout son être, Yburiath respire l’agilité et la rapidité des premiers nés d’Arda. Crasseuse de bas en haut, il y a longtemps qu’elle ne se soucie plus de l’état de sa vêture. De multiples capes détrempées, torturées par des éléments impitoyables, lui servent de protection, là où le cuir de sa tunique ne lui sert plus à rien d’autre qu’à camoufler sa féminité trop longtemps reniée. Nul doute qu’une fois retournée à la civilisation de ses successeurs, elle serait une belle elfe, à la profondeur digne de la reine Galadriel. Mais les temps où elle pouvait y prétendre sont loin, si loin !

Psychologie :
De sève et de givre.
Une vie d’errance et de solitude, uniquement marquée par les rencontres inopinées avec des orcs, des orientaux, ou encore quelques civils peu avenants, n’ont par rendus compte d’une Yburiath sous son meilleur jour.
Sous les premiers hospices de sa longue vie, elle passa ses journées en jugements ingrats et ignorants, commandés bien souvent par un entourage peu scrupuleux de l’influence qu’il pouvait avoir sur ses derniers nés. Silencieuse, mais mesquine à ses heures, elle vivait sous l’embrigadement de son entourage, et s’en déchargeait sur le dos des plus jeunes qu’elle. Rares furent les jeunes elfes qui se comportèrent de la sorte, et pour cause. Peu d’entre eux purent prétendre avoir fait partie des Eglaths les plus hargneux. D’une telle appréhension des relations sociales, il découla que la jeune Yburiath adopta une personnalité faite de suspicion et de rébellion.

Toujours sur le qui vive, elle trouva cependant un individu capable de la caresser dans le sens du poil, de lui faire entrevoir une autre partie d’elle même. Ce fut Tinúviel, héritière de Beleriand, qui la prit sous son aile, pour des raisons qui de tout temps resteront son propre secret. Par elle, Yburiath apprit l’ouverture d’esprit, dans sa grande largeur. L’enfant teigneuse et irraisonnée qu’elle était laissa place à une jeune elfe posée, ouverte et à l’écoute, mais cependant toujours menée par une impulsivité sans bornes, capable de faire renaître, en circonstances d’intense énervement, ce ton acide qu’elle connaissait si bien.

Tueuse sans pitié, lorsque sa propre vie est en danger, elle n’en reste pas moins ouverte aux négociations. Ses sautes d’humeur se sont faites de plus en plus rares, de même que ses prises de parti intempestives. Tant de siècles ont passé depuis qu’elle s’est mêlée d’affaires politiques pour la dernière fois, tant d’années de solitude volontaire se sont succédées, qu’elle est devenue par trop misanthrope, nostalgique, voire même fuyante, à l’idée d’être à nouveau mise en face d’un enfant d’Ilúvatar, et de devoir lui rendre des comptes sur ses agissements.
Rongée par l’inutilité de son existence, elle tend pourtant vers un retour aux sources. Son expérience comme ses souvenirs constituent un bien précieux et inconnu, qu’elle chérit comme son propre enfant, et qu’elle ne confiera que sous un prétexte vital. Sous son malaise apparent, se cache l’envie d’émerger de ce qui est devenu un cauchemars.
De sève et de givre.

Comment avez-vous connu le forum?
Je n’ai aucun mérite, je le connais depuis des temps immémoriaux.

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Dernière édition par le Lun 3 Déc 2007 - 15:45, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 1:35

Histoire :
Illuminant la terre du milieu de sa pale lumière, Undomiel veille. Veille sur chaque cœur qui s’anime, vibrant de cette nouveauté qu’est la vie, voulue par les Valars. Sereine, elle parcourt de ses yeux d’opale chaque territoire, en témoin privilégié des allées et venues de ses habitants. Tantôt elfes silencieux, tantôt hommes impétueux, hobbits joufflus, écureuils sautillants, ils ont droit à son affection, pleine et innocente, et à cette volonté tenace qu’elle influe en chacun d’entre eux.
En ces temps de paix, elle n’est pas avare de bienfaits. Aussi loin que porte son regard, elle s’amuse de son influence sur les enfants d’Ilúvatar, d’Aulë, et même sur ces semi hommes, sortis de la vallée d’Anduin par le plus grand mystère. Les terres d’Eriador, du Rhovanion, du Rohan et du Gondor, sont par ce biais auréolés de sa chaleur bienfaisante, alors même que le Mordor et ses alentours tremblent de froid et d’ombre, encore et toujours. Terres d’orcs, de gobelins, et de toutes les vergences de la création de Kementari, promises au trépas dans la faim et la souffrance, lorsque les jours des hommes atteindront leur apogée.
Plus que tout autre, Undomiel sait quel danger elles peuvent représenter. Lorsque par mégarde, son regard se pose sur elles, elle ne peut retenir ses sursauts d’angoisse. Hommes de l’Harad, pirates d’Umbar, sans parler de ces entités sommeillantes, enfouies dans le sol du Mordor, sont tout autant de présages funestes assemblés en un socle souriant de malice. L’Histoire doit elle se répéter ? Les enfants de la terre du milieu s’entretueront ils à nouveau, dans cette quête insensée du pouvoir, menée par les grands ?
Livrée entière à ce fantôme du passé, l’étoile du soir sillonne ses terres, en quête de réponses. Partout, tout n’est que rires et beuveries. Les Istari revêtent l’habit du souvenir, ne s’attardent plus sur le devenir de ce monde, les rois ne commandent plus de conseils de guerre, et les elfes n’ayant pas pris le chemin d’Aman se terrent dans leur contemplation, sereins et repus de préoccupations. Ils ne voient pas les hordes orcs affamées piller les voyageurs imprudents, vivre par et pour leur sentiment de revanche, et s’émerveiller lorsque par hasard, ils capturent un être hors du commun. Un être oublié de tous, depuis des temps immémoriaux. Un être fait d’immortalité, de rêves et d’errance. Une héritière des Eglath, peut être même la dernière qui ne soit pas parvenue jusqu’en Aman. Yburiath Valainistima, mère observatrice d’une terre en perpétuel mouvement.

Undomiel lui donna la lumière du jour, en des temps où la terre du milieu resplendissait encore d’une paix relative. Des premiers nés des enfants d’Ilúvatar, elle était la descendante directe, initiatrice des découvertes maïeutiques, joyaux d’une race en voie de développement, mais encore trop frêle pour se savoir hors de tout danger. Eglath, était le nom de sa tribu. Membres abandonnés du peuple Teleri, contraints à rêver d’Aman durant toute leur existence, sans pour autant tenir entre leur doigt le moyen d’y parvenir. Dans le souvenir de chacun, Elwë Singollo restait ancré comme le plus pur des trésors, malgré sa responsabilité constatée dans leur malheur. Guide absent, parent disparu dans les méandres de Beleriand, il entretenait malgré lui son propre culte, faisant de l’éducation des jeunes elfes Eglath une ode à sa propre personne.
De ce mythe, Yburiath se nourrit, jurant devant chaque arbre, chaque cour d’eau qu’elle croisait, de retrouver le souverain disparu, de se mettre à son service, et à celui de la famille qu’il aurait composée, échappant de ce fait à l’exil involontaire de son peuple. Les portes d’Aman s’ouvraient à elle, en songe. Jeunes étaient son corps et son esprit, et la sagesse de ses aïeux ne l’habitait pas encore.
Ce ne fut que lorsque Elwë réapparut de sa retraite, entraînant avec lui la divine Melian, qu’un soupçon de compréhension se fit front en l’esprit de la jeune Eglath. Il n’avait jamais été question d’une disparition du guide des Teleri, mais d’une désertion en bonne et due forme. Quelle folie l’avait donc pris, pour qu’il scelle ainsi le destin de dizaines de ses semblables, contraints à l’abandon d’Aman pour satisfaire ses désirs charnels ? A la stupeur de sa découverte succéda la haine d’un individu dont l’enfant ne connaissait rien des motivations, de la nature du changement. Gangrenée par ceux de son peuple qui , bien que minoritaires, ne pardonnaient pas, elle entra dans une phase de refus de l’unification de Beleriand, et finit par fuguer, sûre de la justesse de son choix, et soutenue par les jugements radicaux de ses multiples parents. Cinq jours et cinq nuits, elle erra en Beleriand, avant de trouver refuge contre l’un des arbres de la forêt de Doriath, silencieux, paisible, pacifique. A ses pieds, elle entendit résonner le chant des éléments de Kementari. Crépitement de l’eau, brame du cerf, caresse du vent sur les feuilles, et jusqu’au chant du rossignol, venu se poser sur son épaule. Alors elle la vit. Tinúviel, princesse de Beleriand, à la robe bleue comme un ciel sans nuages, à la cape semée de fleurs d’or, et aux cheveux aussi noirs que les ombres du soir. Et son cœur ne fit qu’un bond. Ses larmes perlèrent sur la simple tunique de lin brun qui la couvrait, et elle se jeta aux pieds de Lúthien, alors qu’une main de soie blanche lui était tendue chaleureusement.

« Les préoccupations qui ornent ton cœur ne te concernent pas, et ne t’ont jamais concernée, hiril*. » (*dame)

Telles cette vérité générale qu’Yburiath n’osait s’avouer, les paroles de la princesse modifièrent sensiblement son appréhension du monde et de ses enjeux, au point qu’elle ne quitta plus l’héritière de Thingol. Souriante et avenante, Lúthien lui infusait cette générosité d’âme qu’elle n’avait que peu connue, dans son monde de frustrations et de rancune, faisant d’elle une elfe Sindar de corps et d’âme. Le temps n’avait pas de prise sur sa dévotion, et l’appel d’Aman se faisait chaque jour plus lointain, plus intangible.
Rien en ce monde ne fut capable de détourner Yburiath de la route qu’elle s’était tracée, avec l’aide de Lúthien. Pas même l’arrivée inopinée des Noldor, ces elfes venus d’Aman, dits porteurs d’un message des Valar. Les héritiers d’Olwë, Finrod, Angrod, et Galadriel la laissèrent de marbre. Porteurs de trop de secrets, ils demeuraient une énigme que même la reine Melian ne dénouait pas. Et lorsque enfin, lumière fut faite sur les crimes auxquels ils avaient participé, et que leur culture fut reniée de Beleriand, Yburiath ne s’échauda pas une seule seconde, bien au contraire. Les terres Aman disparurent totalement de sa pensée, dès cet instant.

Elles étaient pourtant promises à réapparaître, par la douleur et l’absolution entremêlées.
En Beleriand avait toujours couru le murmure d’une menace sans nom, personnifiée par des rumeurs plus ou moins exactes, parlant d’attaques d’orcs, de balrogs, et de créature que nul n’avait la capacité de nommer, tellement elles apparaissaient comme improbables. On parlait de déportations de masse vers Angband, de plaines regorgeant de Noldor assassinés. Nulle tête bien formée ne daignait y accorder une trop grande importance, aussi la vie continuait de suivre son cours. Jusqu’au jour où la nouvelle de la mort d’Angrod, fils d’Olwë, fut amenée jusqu’au trône d’Elwë. Un halot de peur et de désespoir eut vite de fait de recouvrir le royaume, et très vite, il ne se trouva pas un elfe qui ne sache manier l’arc et l’épée pour son propre compte. Si Lúthien persistait dans son attitude débonnaire et confiante, Yburiath, elle, sentit en son cœur l’empreinte grandissante d’un changement, contre lequel elle ne pouvait rien. Sa terre d’accueil avait définitivement été découverte par les armée de Melkor, et seraient assiégées sans répit, jusqu’à ce que toute once de bonté ait définitivement disparu.
C’est la vue de ces peuples inconnus, aux allures peu rassurantes, tels les Hommes Bruns, Edains et Orientaux, qui sonna telle un déclencheur, en l’esprit d’Yburiath. Aussi tenta-t-elle, par tous les moyens qui lui furent donnés, d’inciter le roi à se prémunir contre l’invasion. Nul ne l’écouta, et tous se justifièrent par la trop grande jeunesse, l’impétuosité, que manifestait la jeune suivante. Blessée en son cœur, Yburiath s’enferma dans ce qui lui tenait lieu de quartiers, et Undomiel perdit sa trace.

De la chute de Beleriand, elle n’apprit que l’essentiel, par les récits de voyageurs égarés qu’elle croisa. De la tragédie qui accabla Tinúviel, elle apprit le Chant de la Séparation, et s’émut de n’avoir pu, ou su empêcher la perte de son amie.
De suivante, elle devint rôdeuse, hostile aux Noldor, et à toute forme d’existence émanant de Melkor. En de rares occasions, elle revint sur sa terre natale, contempler la sérénité et la beauté des lieux. Jamais le doute, le regret, ne parvinrent à s’emparer d’elle, qui avait abandonné son peuple à un sort qu’elle savait fait de destruction.
Les guerres des elfes et des hommes qui suivirent ne la concernèrent que peu. Défenseuse de son unique corps, elle traversa les rangs amis et ennemis –que par ailleurs elle différenciait de plus en plus mal- sans trop de difficultés, et s’accapara un monde sensiblement différent de celui qu’elle avait connu, dans sa jeunesse. De son œil extérieur, elle constata l’inéluctable répétition de l’Histoire, et pria les Ainur, de tout son être, qu’ils lui accordent, pour le temps qu’il lui restait à vivre, le refuge de la nouveauté.
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Legolas

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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 2:00

Quel bonheur ! Voilà une lecture bien agréable et je n'en ai pas perdu une ligne. Je te souhaite la bienvenue.

En tant que modératrice, je ne peux rien faire pour ton pseudo, mais je peux tout de même réaffirmer mon enthousiasme : Je check plutôt deux fois qu'une !!

C'est un personnage tout en finesse et ta plume semble vraiment parfaitement maîtrisée. Bravo ! Wink
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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 2:04

Fichtre, je suffoque sous le compliment !
Maître elfe, ma plume bave de plaisir !! Wink
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Nessameldë

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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 12:54

En effet, c'est une bien bien jolie fiche que nous avons là! Non seulement agréable à lire, mais en plus complète avec un personnage bien maîtrisé, bref je dirais même plus: que du bonheur! Razz

C'est la grand réunion des Anciens, ma parole en ce moment! Allez! Courses en fauteuils roulants! boite

Ceci dit, une dame pas très fan des Noldor, ça risque de faire tiquer la parfaite de la tronche ((c) Vardy Inc. Razz) qui me sert de personnage, mais enfin c'est ça qui est marrant en fin de compte! Razz

Je te Valide bien entendu! Comme pourrais-je bien faire autrement! :smile

Bon jeu bien sûr! Wink
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Gandalf

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**Citation personnelle**: En cas de problème, toujours suivre son flair!
**Aime/N'aime pas**: L'herbe à pipe/ Le mensonge

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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 13:05

Quel régal pour les yeux de voir une plume aussi acérée parmi nous... Cela fait réfléchir sur sa propre façon d'écrire...

Merci pour ça!


Et bienvenue... En Terre du Milieu!
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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 15:42

Ma plume risque de rester comateuse un certain temps, avant de se remettre de telles louanges !
Merci à tous pour cet accueil Wink
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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 17:58

Magnifique, cette présentation donne envie d'écrire et de s'améliorer ... Encore bravo gente dame ^^
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Maegaldar Anertoar

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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 19:17

Citation :
Ma plume risque de rester comateuse un certain temps, avant de se remettre de telles louanges !

J'espère bien que ce ne sera pas le cas, ce serait un réel dommage !

Je ne peux qu'abonder dans le sens de tous ceux s'étant précédemment exprimé. Une fiche remarquablement bien écrite, sortant en plus des sentiers battus. Un vrai régal pour les yeux tout le long. J'ai rarement autant apprécié une fiche. Sans besoin de multiples rebondissements l'histoire , la psychologie, le tout quoi, m'a accroché d'un bout à l'autre tellementl'habileté de l'écriture est remarquable.

Alors un grand bienvenue bien chaleureux !
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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyLun 12 Nov 2007 - 21:30

Je suis comblée !
Grand merci messieurs ! :happy1
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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyMar 13 Nov 2007 - 0:48

Bienvenue, je crois que les autres ont tout dit niveau compliment mais j'y ajouterais un "pareil"² ^^
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MessageSujet: Re: Yburiath   Yburiath EmptyMar 13 Nov 2007 - 0:56

J'en arriverai donc aux remerciements au cube ! Wink
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