La Terre du Milieu : Chroniques du Quatrième Âge
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 Maglor

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MessageSujet: Maglor   Maglor EmptyJeu 27 Déc 2007 - 16:38

Nom :
Essë : Kanafinwë/Canafinwë (Quenya)
Amilessë : Macalaurë (Quenya) soit "qui forge l'or" (en référence à sa voix), changé en Maglor (version Sindarin de Macalaurë)
Epessë : Filit, surnom affectif donné en particulier par son aîné Maedhros. Signifie "petit oiseau" en Quenya, utilisé pratiquement uniquement par son frère. En tout cas, il ne reste personne de vivant pour l'employer.
Maglor a eu d'autres surnoms, en rapport avec ses talent musicaux, mais ce n'est pas comme si les habitants des Terres du Milieu s'en souvenaient encore...

Race :
Eldar - Noldor

Age :
Vieux ! Maglor est né en 1278 d'après le compte de Valinor et a disparu lorsque le Premier Âge a laissé place au second. Pour donner une estimation, en années humaines, Maglor a dans les 8000 ans.

Force:
Lumières

Famille :
Galadriel, Dame de Lorien, est la plus proche parente par le sang de Maglor, à savoir sa demi-cousine par leurs pères respectifs.
Elrond, Seigneur d'Imladris, est le demi-petit-petit-petit-cousin de Maglor, en remontant par Fingolfin, Turgon, Idril et Earendil.
Ce qui fait des descendants d'Elrond, logiquement, ses demi-petit(puissance 4) cousins. Mais comme c'est compliqué, on peut tout simplement admettre qu'Elrond est le fils par adoption de Maglor (qui l'a élevé après avoir tenté de massacrer ses parents, Stockolm Syndrom forever !), ce qui fait d'Elladan, Elrohir et Arwen ses petits enfants par adoption.

A part ça, Maglor est le fils de la Dame Nedarnel, actuellement toujours en Valinor, et du défaut Fëanaro Curufinwë. Petit fils et fils de roi, il a eu six frères, mais un seul neveu, décédé à ce jour.

Histoire :
C'est un gros livre, à la couverture de cuir bleue, toute simple mais de bonne qualité. Aucun titre ne siège sur ce grimoire et c'est cela qui attise votre curiosité. Vous êtes jeune, visiteur d'Imladris, et quêtiez dans la bibliothèque silencieuse des récits d'antan.
Vous n'avez pas fait fausse route en vous demandant quelle histoire méritait un livre sans titre, sur la dernière étagère, mais toujours bien entretenu. Vous ne résistez pas et ouvrez... la première page vous amène sur une simple ligne, écrite à la plume. L'encre est noire, l'écriture un peu tremblante mais élégante : "A mes fils adoptifs." Vous tournez la page et découvrez des lignes et des lignes, des heures de musique en une seule lamentation : Noldolantë.

Enfin, vous parvenez au milieu du livre, et vos efforts portent leur fruits : voilà qu'apparaissent les mots, écrits dans un Sindarin vieillit.

"Je suis né en Valinor, voilà maintes années, sous le nom de Kanafinwë Fëanarion. Second fils de mon père, ma mère me gratifia de l'Amilessë Macalaurë ; mon frère leur préféra toujours Filit. En cette époque de joie et de bonheur parfait, on fêta ma naissance avec allégresse et, si je ne me rappelle rien de mes premières années, elles m'ont été maintes de fois comptées : mon père me taxa toujours d'avoir été le plus bruyant de ses enfants ; ma mère celui qui faisait le moins de bêtises ; mon frère du plus adorable (mais Maitimo n'a jamais, jamais été très objectif à mon sujet) ; et mon grand père, comme à tous ses petits enfants, affirmait que j'étais un don d'Eru.

Je grandissais. Il me semble que mon père fut déçu de me voir si ennuyé aux travaux de la forge, dans lesquels il excellait. Fëanaro aurait évidemment souhaité que nous suivions sa route, et avait jusque là été fort déçu : Nelyo, mon aîné, n'était guère habile comme artisan ; quant à moi, je ne portais aucun intérêt au travail des métaux, des pierres précieuses ou de la roche. Il devait encore l'être, jusqu'à la naissance de mon quatrième fils, auquel il donna son nom.

Mais alors que ma famille s'agrandissait sensiblement, mon goût et mes dons pour la musique se développèrent, au point que mon père lui même cessa vite de me le reprocher. J'étudiais avec sérieux et était déterminé à faire de la musique toute ma vie. Ainsi devait-il en être, en Aman tout de moins.

J'avais six frères : Nelyafinwë, qu'on appela plus tard Maedhros ; Turkafinwë, qui devint Celegorm ; Morifinwë pour Caranthir ; Curufinwë ou Curufin, et enfin les derniers nés, Ambarussa, qui répondaient tous deux au même nom, car ils étaient jumeaux. Je peux me vanter d'avoir eu la famille la plus étendue (le records est toujours à battre si vous êtes intéressés), ainsi que d'être né dans une lignée royale, flamboyante, qui devait finir fort mal au demeurant.

C'est seulement une dizaine d'année avant que tout ne s'écroule que je rencontrais celle qui serait mon épouse, Nandarwen La Harpiste. J'étais le troisième des fils de Fëanaro à trouver compagne ; je devais être le dernier.

Nous étions alors exilés de Tirion. En cette année de 1495 de l'âge des Arbres, nous perdîmes tout, bien que nous ne le sachions pas encore : mon grand père, Finwë Roi des Noldor, fut assassiné par Melkor, que mon père nomma alors Morgoth ; les Silmarils de Fëanaro, volés par celui-ci là même. Quand à mon père et mes frères, ainsi que moi même, nous nous damnions et nous condamnâmes alors par un Serment inviolable, que je ne cesserai jamais de regretter.

Ainsi les Noldor quittèrent Valinor, dans le désordre, la peine et le malheur. Mon père luttait pour le pouvoir avec son frère cadet ; ma mère restait en Aman, et Nandarwen, plus sage que moi et dégoûtée de ce qui suivit, devait repartir à la suite de Finarfin. Nous parvinrent à Alqualondë. Pour la première fois, je tirais l'épée et malheur ! ce fut contre des amis. Je versais des larmes tout en combattant, comme j'en versais à Doriath et à Sirion.

Ainsi les Noldor quittèrent Valinor, dans le sang et maudits. La folie de mon père nous condamna encore et, à peine avions nous posé pied sur les Terres du Milieu qu'il mourrait, abattu par des Balrogs ; dans les jours qui suivirent, mon bien aimé Nelyo me fut arraché pour être torturé à Angband. Me voilà moi, Macalaurë le chanteur, celui des fils de Fëanor qui était le moins intéressé par la politique, passant du second petit fils du Roi à Roi lui même ! Mon frère emprisonné, mon père mort, je devais prendre des décisions, empêtré dans des serments qui ne me donnaient pas le choix : j'abandonnais Nelyo à son sort et, quand Fingolfin nous rejoignit, ses gens emplis de colère à notre égard, je me repliais loin d'eux.
Ma peine était grande, mais moindre que ce qui devait suivre..."

Déçu, vous voyez alors que plusieurs pages ont été arrachées. Vous ne saurez donc jamais quels ont été les sentiments de Maglor lorsque son frère a été secourut, l'héritage de sa famille cédé à la branche cadette. Le récit reprend plusieurs années plus tard, après ce qui semble être Dagor Bragollach.

"... mes terres furent dévastées pas Glaurung, et je dus, pour commencer, me retrancher dans les bois d'Ossiriand. Ma troupe dû attendre de longs mois pour que les orcs se retirent et que nous puissions rejoindre Himring. Maedhros nous accueillit avec joie et soulagement, car il n'avait eu de mes nouvelles depuis la perte de la Brèche.

Dans les années qui suivirent, nous préparâmes les plans de l'Union..."

Vous aviez déjà passé des heures à étudier tout ce qui a trait à l'Union de Maedhors lorsque, adolescent, vous aviez appris l'histoire. Vous tournez plusieurs pages et parvenez au Sac de Menegroth.

"Maedhros, comme il l'était depuis la mort de Fingon, ne donna aucun avis. La virulence de Celegorm et la volonté de Curufin l'emportèrent sur mes protestations. L'idée même d'un nouveau massacre me soulevait le coeur et je tentais de persuader mon aîné, en temps que chef de notre maison, de s'opposer à ce projet. Mes mots tombèrent dans l'oreille d'un sourd. Au moins n'amenions-nous aucun hommes ; je n'entrais qu'en dernier dans le palais, où les cris retentissaient déjà..."


Dernière édition par le Jeu 27 Déc 2007 - 20:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Maglor   Maglor EmptyJeu 27 Déc 2007 - 16:53

Plusieurs phrases, à cet endroit, sont couvertes de la même encre qui servit à l'écriture. Il semblerait que l'auteur lui même, après réflexion, ai préféré effacer ce passage. Le récit reprend juste après l'attaque des ports de Sirion, le dernier massacre des elfes par les elfes.

"Après l'attaque de Sirion, nous allâmes par marche forcée aussi vite que possible, car nous pension que Gil-Galad et Cirdan chercheraient à nous retrouver. Le voyage fut pénible, en particulier pour Elononi qui, encore très jeunes, souffrirent du froid et de la fatigue.

Nous nous installâmes de nouveau dans la discrète vallée qui nous servait de refuge depuis de nombreuses années. Maedhros me laissa l'éducation des jumeaux et je m'y attelais avec plaisir, tant Elononi me rappelaient Ambarussa... Elrond et Elros restèrent près de trente deux ans avec nous, puis, parvenus à l'âge adulte, Maedhros exigea que je les renvois auprès de Gil-Galad et, cette fois, je fus forcé de céder mes jumeaux. Je passais ensuite des années solitaires avec mon frère, jusqu'en 590 où éclata la grande Guerre de la Colère. Nous n'y prîmes pas part : nous n'étions, depuis de longues années, plus considérés comme des alliés honorables. Et non à tord, mais j'étais lassé des combats et en fut presque heureux.

La guerre fut gagnée, les Silmarils retrouvés. Notre Serment, une fois de plus, revint entre nous et la paix. Mais les Valar nous refusèrent les joyaux ; n'ayant d'autre choix, nous dûmes les dérober. On nous laissa partir et nous crurent, un instant, que nous pouvions être libres de nouveau ; plus jamais innocents et pour toujours coupables, mais libérés de notre serment.
Nous avions tout faux.

Les Silmarils nous blessèrent. Fou de douleur, Maedhros, mon cher Maedhros se jeta dans une crevasse. Je ne trouvais le courage de faire de même et jetais mon Silmaril à la mer. J'avais tout perdu : le peu d'honneur qu'il nous restait, l'héritage de mon père, mon frère..."

Le récit s'arrête ici mais vous trouvez, entre les pages suivantes, des liasses de feuillets. Celles-ci semblent contenir la suite de l'histoire...

"Je errais pendant de nombreuses années, dont je ne tenais pas le compte. Le Nord avait été ravagé et, pendant un temps, je restais sur les plages septentrionales. Mais les voix de mon peuple s'en approchaient ; j'allais vers le Sud, encore et encore, car je n'avais aucun désir de revoir les miens.

Je marchais longtemps mais lentement et m'arrêtais souvent, si bien que ce furent sans doute de longues années avant que je ne parvienne en ce lieu qu'on appelle aujourd'hui Harondor. Il n'y avait pas d'elfes, de quelque race que ce fut, sur ces territoires. Je m'y installais donc.

Je ne parlais pas la langue locale et craignais d'utiliser la télépathie des elfes d'Aman ; je passais donc quelques temps assez difficiles avant que ma voix ne me rattrape : je chantais et, bien vite, me trouvais sous la protection d'un riche seigneur. Mon père aurait été profondément humilié que je m'abaisse au rang de serviteur ; je m'en fichais : était-ce pire que d'être un assassin, voleur et traître à son peuple ?

Je quittais mon nouveau pays d'adoption lorsque les Numénoréens se firent plus aventureux. Amis des elfes, je craignais qu'ils ne remarquent ma présence et en informe les Eldar. Je errais pendant presque un millénaire avant d'être bêtement capturé par des Suderons. On menaçait de m'enlever mon épée ; je répondais en massacrant la troupe. La vue du sang ramena des souvenirs indésirables et je prenais la fuite, plus loin encore dans le sud.

Quand je remontais vers les Terres du Milieu, je passais par le Khand, alors en guerre. Après de longues années d'ennui, je suivais de loin les troupes pour m'occuper et finissais, comme n'importe quel abruti aurait dû s'y attendre, par me faire attraper en bordure de l'armée. Encore une fois, je m'en tirais en chantant pour le Général et passais du rang pitoyable de "prisonnier de guerre à torturer horriblement et le plus longtemps possible" à celui, légèrement plus honorable, de ménestrel attitré des hauts officiers.
Je passais trois siècle à la cour des Emir du Khand, puis un coup d'état pour le moins sanglant me persuada d'aller voir ailleurs. Je repartais au sud pour échapper au contrôle grandissant de Mordor sur cette région.

Le temps passa encore et j'allais vers l'ouest, puis le nord. Je remontais vers Edhellond et découvrait avec surprise que les Numénoréens y avaient fondé le Gondor. J'allais plus au Nord et ne cessait d'être surpris des nouvelles que j'entendais : Gil-Galad mort, Numénor engloutie et, loin au Nord, l'un de mes fils bien aimé, encore bien là, honoré et sauf... "

La suite a été découpée et vous suspectez Elrond d'en être responsable. Et de toute manière, ce passage ne vous concernait sans doute pas. La lettre suivante est presque récente, mais plus difficile à lire : l'encre est de mauvaise qualité, presque brune, et le papier moins bien conservé.

"Au Seigneur d'Imladris,
Je me trouve de nouveau en Harad, où les mers sont chaudes et ne me rappellent rien du passé. J'ai quitté le Nord et ne pense pas y revenir, mais je me dois de vous informer, pour l'amour que je vous porte, de ce que j'ai vu.

Le Harad bouge et sera bientôt en guerre. Je crains que Gondor ne soit bientôt balayé. Pardonnez ma lâcheté ; je ne participerais pas à cette guerre, ni à aucune autre. Je ne sais combien d'année il faudra pour qu'elle éclate, mais je resterai caché comme je l'ai fais depuis nombre d'années. N'envoyez personne me chercher : je vais loin sur des terres que les elfes ne devraient pas fouler, et tiens à y rester."

L'histoire s'arrête ici : soit que le Seigneur Elrond n'ai pas cru bon d'y ajouter la suite, soit qu'il n'ai eu aucune nouvelle de Maglor après la guerre de l'Anneau. Mais votre orë vous dit que, quelque part, le Ménestrel erre toujours, bien vivant...



Description physique :
S'il y a bien un mot qui pourrait résumer l'apparence de Maglor, c'est : discrétion zéro. Pardon, ça fait deux. Mais passons.

Pour commencer, Maglor est grand, même pour un noldo. Avec 1m96, il dépasse de plusieurs centimètres la majorité des humains et les femmes humaines lui arrivent très, très rarement au dessus de l'épaule. Sans être particulièrement épais, il avait autrefois la musculature d'un combattant habitué à l'épée autant qu'à la monte, mais de longues années d'errance l'ont quelque peu amincies... un peu beaucoup. Maglor est sans doute un des rares elfes de Terre du Milieu qu'on puisse qualifier de "maigre", et la matière qui lui reste sur les os se limite à des muscles secs et durs.

Pareil traitement a laissé le visage du noldo émincé, aux traits presque trop coupant pour un elfe : pommettes hautes rendues proéminentes par des joues creuses, nez fin... mais ce n'est pas ce qui choque (même si ce n'est pas un portrait très courant), ce n'est pas l'état franchement lamentable de Maglor, mais son regard, empreint d'une telle tristesse que ça vous en ferait pleurer une hobbit le jour de son mariage, et pas de joie. Ses yeux sont bleus, comme ceux de son père, et brillent comme des étoiles, mais la lumière qu'ils contenaient autrefois, terrible et puissante, n'est aujourd'hui qu'un rappel de ce qu'il a été : un grand guerrier, chanteur émérite et un lettré cultivé. Tout, sauf ce à quoi il ressemble : ses longs cheveux noirs aux discrets reflets roux sont complètement emmêlés, si sales qu'on en voit à peine la couleur ; ses vêtements ne détonneraient pas sur un mendiant. La seule chose encore en état qu'il porte est sa vieille épée, forgée par son père (et qui, de fait, parait tout à fait neuve, les armes Made In Fëanaro c'est time-proof) en Aman et donc assez précieuse pour que n'importe quel homme puisse s'acheter une très belle maison à Minas Tirith.

Enfin, la paume de la main droite de Maglor est étrangement noircie, même si la peau, au toucher, parait tout à fait normale...

Note : Maglor possède une voix de Baryton, jugée excellente pour un elfe (seul le ménestrel Daeron de Doriath l'aurait emporté sur lui). Son ambitus couvre près de 8 octave (étendue de voix extrêmement rare mais possible, même chez des humains).
Maglor était en particulier connu pour la puissance de sa voix, qui portait loin et fort.


Psychologie :
Maglor est une personnalité tourmentée, hantée. Des milliers d'année solitaires n'ont pas suffis à faire disparaître de sombre cauchemars, ses regrets et ses remords. Son regard, bien que brillant, n'est jamais exempt de peine et ses sourires, quasiment inexistants, ne portent que peu de joie.

Qualités :
Maglor est et a toujours été un Elda prompte à la gentillesse. Sans doute le plus doux parmi ses frères, c'est aussi celui qui a été le plus peiné par les atrocités commises pendant le Premier Âge. Une grande sensibilité a conféré à sa musique une expressivité rare, une empathie naturelle à son esprit. Quand à la brûlure que lui ai infligé le Silmaril, elle lui a appris à ne pas se soucier des biens matériels, ce qui fait de Maglor une personne dépourvue d'égoïsme.

Mais Maglor, gentil comme un chaton perdu ? Ah ah. Erreur. N'oubliez pas que vous avez sous les yeux un elfe multi millénaire qui, bien que pas très impressionnant à regarder, a massacré plus d'orcs (et d'elfes) dans sa vie que bon nombre de guerriers. La solitude n'a pas terni sa flamme et, si tous les elfes diminuent en Terre du Milieu, Makalaurë est un reste de la puissance de ceux de Valinor. Attention donc, car sa détermination est intacte, sa volonté blessée mais non brisée, et quand sa colère se lève, sa main retrouve bien vite la direction d'une épée qu'il manie encore bien...


Défauts :
Déprimant. Maglor n'est pas un joyeux, cela va sans dire. Ce n'est pas à ses côtés que vous allez rire pendant des heures. Accro à la mélancolie, sa tristesse permanente peut vraiment taper sur les nerfs.
Ça, et le lééééééééégendaire tempérament des descendants de Fëanor. Il faut croire que c'est héréditaire : Maglor a beau être le plus calme des sept, il vaut mieux ne pas le mettre en colère ou le pousser dans ses retranchements, car la riposte serait sévère et sans doute sanglante. On ne rigole pas avec un Feanorion, hein. Ajoutez à cela que Maglor en est venu à ne pas du tout apprécier tout ce qui est propriété matérielle, joyaux brillants et tout le bla bla, l'arrogance naturelle de sa famille ajoutée à celle de son âge plus celle des elfes en général, et vous obtenez quelqu'un qui peut être, à l'occasion... profondément énervant.

Code: [EDIT ADMIN OK] (pff, pourquoi elle a pas demandé à tonton Fëanor de lui faire des rasoirs efficaces, aussi ?)

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Nessameldë

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Metier : Dame de Compagnie de Galadriel
Age du personnage : 6559 ans, très précisément!
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**Citation personnelle**: My light shall be the moon And my path- the ocean My guide, the morning star As I sail home to you...
**Aime/N'aime pas**: Son pays/Tout ce qui sent mauvais et qui a des pustules...

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MessageSujet: Re: Maglor   Maglor EmptyJeu 27 Déc 2007 - 20:01

C'est où qu'on signe???!!! C'est où qu'on signe???!!!!! :bow

Aaah ma journée s'illumine! :smile Mais quelle joie, quel bonheur de voir une si jolie fiche!!! :surprise2 Non seulement c'est bien écrit, mais en plus c'est complet et en plus ça repousse mes a priori de dire "Hum, Maglor? Qu'est ce qu'il fiche là?!" eh bah je suis bien contente finalement qu'il soit là! Razz

Je trouve que l'histoire s'intègre franchement plutôt pas mal, ce qui n'était quand même pas gagné parce qu'on est en droit de se demander que peut bien faire un fils de Feänor au Quatrième Age, mais après tout, puisque Tolkien ne nous dit rien, on peut tout à fait l'inventer...

Bref, c'est donc avc plaisir et enthousiasme que j'envoie le premier CHECK! Wink

Et puis: enfin quelqu'un que mon personnage va avoir tout le loisir de haïr! Je savoure! lol!
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MessageSujet: Re: Maglor   Maglor EmptyJeu 27 Déc 2007 - 20:13

Maglor est le seul a avoir survécut au premier âge (oui enfin, une main à moitié en moins, sa santé mentale on ne sait pas où mais passons...), et il a juste été dit qu'il "ne revint jamais parmi les elfes". Et pour l'instant il n'y est pas revenu et n'en a pas l'intention :p

J'ai hâte de jouer avec toi ^^ merci pour l'accueil !
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Vardë Moredhel

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**Citation personnelle**: Dites, mon Prince, à propos de votre père... Galadriel, Lothlorien, vous situez plus ou moins? hé bien, il se trouve que...^^
**Aime/N'aime pas**: Regarder la Soleil se lever/Tomber comme un cheveu dans la soupe

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MessageSujet: Re: Maglor   Maglor EmptyVen 28 Déc 2007 - 0:54

Oh, un nouveau vagabond paumé et dégouté des Elfes! Et les grand-papa par adoption d'El&El.

Très bonne fiche, j'attends avec impatience de voir comment tu t'en sortiras.
Et de te rencontrer en RP.
Si tu cherches du Haradrim, je préviendrai Aran!
Si tu veux venir pleurnicher sur la plage, on y est déjà trois, et pour Imladris, j'ai toujours les jumeaux et Papi Elrond à PNJiser en stock^^.

Bref, Check, et re-Check pour cet fiche qui rend parfaitement hommage à un personnage que j'aime beaucoup^^.
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MessageSujet: Re: Maglor   Maglor EmptyVen 28 Déc 2007 - 1:31

Oooooh t'embêtes pas à chercher, les rumeurs ça court vite et en vingt ans, Maglor a eu le temps d'apprendre qu'un de ses petits enfants était à Minas Tirith, donc comme logiquement on y trouve pas d'elfes (mais vu comme il est super à jour à propos du Gondor...), il pense pouvoir jeter un coup d'oeil discret sans avoir à rencontrer lesdits elfes.

Je crois qu'il se plante lourdement sur ce coup Laughing le pauvre, il aurait vraiiiiiiiiment dû rester dans le Sud !
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Maegaldar Anertoar

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MessageSujet: Re: Maglor   Maglor EmptyDim 30 Déc 2007 - 13:37

Wahouh superbe superbe. Un bon récit bien passionant j'ai pas décroché une seconde !
Je n'ai qu'une hate : pouvoir en lire plus Razz

PS : Bonjour et bienvenue tout de même, j'en oublierais presque les civilités Embarassed
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