Chambre d'Aragorn

Invité

Cette chambre était faîte de marbre, mithril, et or.
C'est ici que l'on pouvais venir voir Aragorn quand on en avait besoin, où simplement pour passez.
Aragorn était a son balcon qui donnez vus sur la plaines en dessous de Minas Tirith.

les plaines... est quel spectacle !!! 20 000 Uruk et plussieurs centaines de soldats humains ainsi que leurs machines de sieges et camps obscurcissé les champs du Pellenor... les cataplutes de la cité blanche avaient était sabotés !! certains soldats sont morts croyant pouvoir les utilisé !! de certain garde était réguliérement trouver mort !! comme is l'énemis innombrable était déja dans les murs !! Galdarith et sa traitrise connue le systémes administratif était durment toucher!! tout le monde suspecté tout le monde !! le chaos régner!! des notables envisager déja la rédition !! surtout que le sombre seigneur avait promis la vie sauf a tout les habitants qui ce rendraient !!"

Au loin Osgiliath et Pélargir étaient déja occupé, et aux coulleurs de l'étendard du sombre sir..... quel mal de crane pour le roi....

Suite du combat aérien

[Hj : Elende, si tu veux veiller sur Estel, c'est ici que ça se passe Wink

]

Après que son physicien lui eût fait un rapide pansement de fortune, on avait porté Aragorn blessé dans sa chambre.
Porté par six soldats aussi précautionneusement qu'ils l'avaient pu, ils s'étaient frayés un chemin à travers les couloirs, Falator ouvrant la route et Elendaë lui tenant la main, courant à ses côtés.

Finalement ils entrèrent dans la chambre royale et posèrent le corps épuisé du roi sur le grand lit recouvert de fourrure.
Aragorn était toujours conscient et de plus en plus blanc, il était toujours conscient mais semblait très faible. Il fermait les yeux et grimaçait parfois de douleur tandis qu'on le délassait de ses vêtements et pièces d'armures.

Falator congédia les soldats, seul restait dans la chambre avec le roi le médecin, Elendaë et lui même.

Falator regarda son roi au visage blême avec inquiétude, il joignit les mains et commença à prier silencieusement.

*Falator : "Faites qu'il s'en sorte, par la magie des Valars"*

[Hj : voilà, le médecin est là, mais la science elfique est plus forte : à toi de jouer Elendaë]

Elendaë s'inquiétait énormément du visage blème d'Aragorn. Après qu'il eut été allongé et que les gardes eurent quitté la salle, l'Elfe se pencha sur lui.
"Estel... Lasto, tolo hi galad..."
Elle détacha avec précaussions le bandage de fortune et examina la plaie. Elle mordillait sa lèvre inférieur presque jusqu'au sang tout en écartant aussi doucement que possible la blessure béante. Aragorn tressaillit vaguement de douleur.
"Goheno nin. No veren, Estel."
Le sang qui s'écoulait était quasi brun, et coagulait déjà. Trop tôt... Elendaë appliqua quelques herbes pour le liquéfier et attendit un instant que cela fasse son effet. Puis, elle broya une feuille d'athelas, souffla dessus et la mela à l'eau avec laquelle le médecin nettoya la plaie.
Elendaê sortit de la pièce en courant et revint aussi rapidement que sa robe le lui permettait avec des bandages propres et une boisson anti-poison. La pointe de la langue sortie de la bouche dans une mimique d'application, elle noua les larges bandes de tissu blancs autour de la blessure, puis servit une coupe du liquide amer, et fit boire le Roi avec milles précautions, en soutenant sa tête avec la tendresse d'une mère. Elle posa une couverture sur lui et lui sourit.
"Gen hannon Illuvatar."
Son regard se posa ensuite sur Falator. Il était encore tout tremblant d'émotion, et ne semblait pas en forme. Elle posa gentillement sa main sur l'épaule du Hobbit.
"Nul autre que vous n'a montré plus de bravoure aujourd'hui. Vous avez plus que mérité le repos dont vous avez besoin. Allez dormir en paix, jeune Perian."

[Traduction elfiques: "Estel...Ecoute-moi, reviens à la lumière...""Excuse-moi. Sois fort, estel."et "Je remercie Eru"]

La potion avait un gout écoeurant (pouah), mais c'était une bonne médecine et les soins d'Elendaë ainsi que la chaleur de sa voix faisaient grands effet sur Aragorn.

Déjà la douleur s'apaisait et se muait en une sensation de chaleur intense, curieux mélange de bienfaisance et de noirceur glacial qui se combattait dans le ventre du roi.
Il s'efforça un instant de garder les yeux ouverts, dans une dernière crânerie de jeune enfant qui veut faire croire qu'il n'a pas mal. En présence d'Elendaë, Aragorn retrouvait toujours des réflexes d'enfant : il en en avait toujours été ainsi entre eux, Rodeur ou Roi elle était sa préceptrice pour jamais...
Mais finalement, la potion et la douceur de la magie elfique eurent raison de sa volonté. Il ferma les yeux et s'assoupit comme un nourrisson.

Falator rechignait à quitter la chambre de son maître, il était lui même écorché sur tout son corps et avait besoin de repos, mais il trouva un prétexte et dit à Elendaë:

Falator : "Noble fille de l'écume, je me dois de rester car je veille sur l'épée du Roi. Il me l'a confié et je ne peux point la quitter avant qu'il ne me l'ai repris de ses propres mains."

Falator tenait en effet près de lui Anduril l'épée qui trancha la griffe du démon noir.

Elendaë sourit à la remarque, pertinente, certes, mais tellement mignonne, du Hobbit.
"Et bien, puisqu'il en est ainsi, vous ne pourriez vous en aller. Mais néanmoins, je jugerais offensant pour un soldat d'une telle trempe que de rester au pied du lit de son Seigneur alors qu'au dehors, vos louanges sont déjà chantées... Qu'est-ce qu'un Semi-homme pourrait bien décider dans pareille circonstance? Dites, et je m'en chargerai."

Falator qui était si malicieux d'habitude et si prompt à railler la "fille de l'écume" et son austérité, rougit un peu sous la poussière qui recouvrait sa figure.
Les louanges des dames font toujours effet sur le coeur des hommes(et les semi cela va de soi), même s'ils se plaisent à le leur cacher.

Il bredouilla un peu avant de retrouver sa contenance :

Falator : "Et bien... Le soldat le plus brave du Gondor rêverait d'avoir ma place madame.
Veiller au pied du lit d'un tel Roi est un honneur plus que suffisant pour celui qui se prétendrait le premier de ses sujets, alors pour moi...
Et puis ces louanges sont trop pour la part qui me revient.
Je l'ai bien senti : c'est lui qui à travers moi maniait l'auguste lame, je n'ai été que son bras...
Doit-on honorer le bras autant que l'esprit qui le guide ? La victoire est au Roi bien plus qu'elle est mienne..."

Pendant ce discours d'une modestie non feinte, Falator avait réfléchi et il ajouta presque dans la foulée, d'un ton qui lui ressemblait plus :

Falator : "Mais puisque vous le demandez, je crois qu'au delà des louanges, un semi homme... Après tant de rudes épreuves aurait surtout besoin qu'on lui portât à manger et à boire.
Et cela je le mets au troisième rang des plus belles récompenses qu'un "bras" tel que moi peut espérer, après les pieds mon Roi et... un sourire de vous..."

Il termina ses derniers mots avec un effronté clin d'oeil à Elendaë qui fit tomber un peu de la poussière qui collaient encore à ses paupières.

Elendaë le regardait feindre la modestie en souriant avec bienveillance. Malgré ses railleries, elle savait que Falator était un brave gars, et le trouvait bien courageux en rapport avec sa taille.
"Cela sera fait dans les plus brefs délais, soyez-en assuré."
Elle reprit une mine plus sérieuse et pensa à Arwen, qu'elle avait quitté assez prestement, et qui ne devait pas encore avoir eu beaucoup d'échos de la bataille. Il serait bon d'aller la chercher... La dame elfique se glissa au-dehors, les bras croisés et le visage fermé.

Après quelques minutes, une jeune fille frappa à la porte et entra avec un plateau, qu'elle tendit à Falator en souriant.
"S'il-vous-plait, messire. Nous avons fait aussi vite que possible."
Elle se retira avec une jolie révérence et disparut à son tour dans le couloir.

La porte s'ouvrit délicatement, et Elendaë la tint ouverte pour l'Etoile du Soir. Arwen s'approcha d'aragorn avec de l'inquiétude lisible dans les yeux. Sa dame de parage posa délicatement sa main sur son épaule et soupira.
"N'aie crainte, Undomiel. As-tu déjà vu un roc qui puisse l'ébranler? Hebo estel! Dans quelques jours, il n'y parraitra plus rien."
Elendaë se glissa vers la fenêtre et observa le tumulte sur l'esplanade. L'affairement était à son comble, mais cela ne l'émeut as. Elle regarda en silence pendant un instant, quand un détail la frappa de stupeur.
"Par Eru! Quelle négligence!"
L'air mi-inquiète, mi en colère, elle quitta la pièce avec un dernier salut, et ferma la porte derrière elle.

Serrant ses deux mains tremblantes l'une contre l'autre, la reine s'avanca doucement vers le lit de son bien-aime...
Tirant une petite chaise a elle, elle s'assit pres de la tete de son epoux, lui caressa la joue de ses doigts fins et lui dit tendrement,

Arwen; 'Elessar... Lasto beth nin, meldanye, tolo dan nan galad...'

Deposant delicatement ses levres contre les siennes, elle attendi patiement le reveil de son amour...

Après avoir dévoré avec passion le repas que la gracieuse Elendaë lui avait apporté, Falator avait été saisi d'une brusque et pesante fatigue.
Cette même fatigue qui saisit le (semi) homme d'action lorsque la tension se relâche et que le corps se permet de rappeler à l'esprit qu'il a besoin de repos.
A peine avait il avalé la dernière rasade du bon vin de l'Umbar que l'elfe avait eu la délicatesse d'offrir en guise de boisson, qu'il s'était écroulé littéralement au pied du lit de son Roi, terrassé par un épuisement subit.

Lorsqu'Arwen et Elendaë étaient entrée, il dormait déjà du sommeil du juste, couché sur une magnifique peau de loup [hj : meuh non c pas Sindawen ! ] qui servait de descente au lit royal.
Falator ne ronflait pas, comme en plus il était assoupi du côté du lit opposé à la porte, ni Arwen, ni Elendaë ne le virent.

Aragorn dormait lui aussi, la caresse d'Arwen fit glisser depuis sa joue vers son coeur un délicieux frisson qui appaisa la souffrance sourde contre laquelle il luttait dans son sommeil.
Toutefois, son âme occupée à affronter le mal refusa de réveiller son corps.
Ce fut lorsque Arwen déposa le doux baiser sur ses lèvres qu'elle consentit à lui rendre sa conscience.

Mais grâce à la médecine d'Elendaë et à la présence de sa reine chérie, tout ce que le dragon lui avait transmis de poison et de malédiction s'effrita et s'évanouit comme poussière sous le vent pour ne laisser place qu'à la fatigue de la perte du sang.
Ainsi Aragorn se réveilla, il entrouvrit à peine les yeux et respira le délicieux parfum de son amour qui parvenait jusqu'à lui : il perçut avec ses sens la présence de celle qu'il avait senti avec son âme.

Pourtant après un regard vague vers Arwen et le début d'un léger sourire, il referma les yeux et fit disparaitre tout sourire de sa bouche.
Il soupira doucement et mima un léger rictus de douleur.
Aragorn se disait que de cette façon sa dame lui donnerait un autre baiser...
Le coquin commençait le fameux petit jeu amoureux du malade qui montrait qu'il était bien et que la mort ne l'emporterait pas encore cette fois-ci.

[HJ: hihi Gorny, toi alors! lol Au fait tu as disparut d'msn?? ^^]

Arwen retint un sursaut de surprise lorsqu'elle vit Aragorn s'agiter à ses cotés. Tournant le regard vers le visage aimé, elle vit une douce lumière verte passer sur son coeur au travers des paupières de son époux...
Refermant soudainement les yeux, l'elfe avait quand même eu le temps de voir s'étirer un doux sourir sur les lèvres de son grand malade... ^^
Voyant son "léger" rictus, elle éclata d'un rire cristallin et se pencha vers lui, lui accordant ce pour quoi il jouait ce petit jeu...
Ce penchant doucement vers l'homme de sa vie, elle unit ses lèvre au siennes, glissant tendrement une de ses blanches mains dans les mèches folles de ses cheveux et lui caressant doucement la joue de l'autre...

[Hj : non je suis encore là sur msn, pas souvent aux heures où tu es là, c'est tout Wink

]

Le beau rire d'Arwen résonna dans les oreilles d'Aragorn et le réconforta.

Il recueillit son second baiser avec délice : quoi de plus revitalisant que l'amour de sa femme pour lui.
Il ouvrit doucement les yeux et les plongea dans ceux de son amour.
Il sourit et offrit sa joue à la caresse en la frottant contre la main de sa belle avec des légers mouvements de la tête.
Arwen caressa ses cheveux qui étaient encore par endroit collés de sang séché.
Son visage égratigné avait été massé et enduit d'un baume cicatrisant à l'odeur légère de violette.
Il embrassa la peua douce et nacré d'Arwen au niveau de la comissure des lèvres, juste à l'endroit où joue cède la place à la bouche.[Hj : et oui faut profiter de se becotter bisou

avant qu'Elendaë débarque lol Very Happy

]

Malgrè un fond de douleur, il était bien et appaisé, après son baiser il mumura doucement dans le creux de son oreille, dans la douce langue des elfes :

Aragorn : "Arwen, ma mie. Ma journée fut terrible, quelles heureuses heures sont les miennes maintenant que vous voilà près de moi."

Venant nicher sa tête contre l'épaule de son chèr et tendre, Arwen put enfin se detendre... Son Amour allait (pratiquement) bien, elle pouvait respirer plus librement. Se lovant dans la chaleur de son cou, elle le sentit resserer lentement ses bras autour d'elle et lui dit sur le même ton:

Arwen: "Oh mon tendre amour, je ne sais que vous dire de plus... Mon angoisse fut si grande mais mon soulagement n'en est que plus doux... Je remerci Illuvatar de vous avoir rendu à moi saint et sauf..."

Aragorn se décala un peu du centre du lit pour laisser une place suffisante à son épouse.
La douleur de son ventre avait disparu, comme noyé sous l'afflux de bonheur que lui procurait de la présence d'Arwen.
Pendant ces instants toujours trop courts, Aragorn s'autorisait à l'abandon de ses soucis. Il n'était plus en ces belles minutes le roi de tous les hommes libres, mais le tendre mari de la plus aimante et la plus belle des femmes.
Comme il est bon parfois d'être simplement l'homme d'une femme, mais même là Aragorn avait l'avantage sur tous les autres hommes car la femme c'était Arwen...

Aragorn ferma les yeux un instant pour mieux savourer sa félicicité. Les effluves délicates et féminines du parfum d'Arwen lui parvinrent et il inspira profondément pour mieux gouter son plaisir.
Il frissonna comme un jeune homme. Il aimait ce trouble gentil qu'il ressentait toutjours avec la même intensité comme au premier soir de leur bonheur conjugal, ce beau soir où il avait vu sa moitié dans la tenue qu'il lui préférait...

Il rouvrit les yeux et sourit : il voyait les cheveux noir d'Arwen dont la tête était posée contre son épaule. Il y déposa un petit baiser et murmura.

Aragorn : " Madame... Je me sens si bien près de vous en ce moment que j'en arriverai presque à ne pas regretter d'avoir été blessé... Je n'arrive quasiment plus à en vouloir à ce noir démon qui a surgit dans notre cité."

Arwen sourit à la remarque de son époux. Il est vrai qu'il était si bon d'être enfin ensemble... Il n'avaient malheuresement plus une minute pour eux deux... Elle, bloquée par leurs enfants et lui, par sa position...

Arwen: "Le temps ne passe que trop vite lorsque nous sommes enfin réunis mon amour... Aragorn, nous devons nous réorganiser pour trouver quelque temps supplémentaire... Je ne parviens même plus à me consacrer sur mes tâches. Il me suffit de la plus petite chose me ramenant à vos souvenirs et mon esprit ainsi que mon âme s'envolent jusqu'à vous...

L'enserrant de ses bras, elle tenta de calmer sa respiration et les battements de son coeur de façon à ce qu'il ne sente pas son émotion...

Elendaë, dont l'humeur était loin d'être bonne, marchait rapidement à travers les couloirs. Elle s'arrêta devant la porte de la chambre d'Aragorn et frappa quelques coups rapides.

Se redressant vivement sur le lit de son époux, Arwen le regarda tendrement puis dit:

Arwen: "Entrez!"

Elendaë salua noblement en entrant, malgré sa robe tachée et ses cheveux un peu décoiffés. Elle inspira un bon coup, s'approcha un peu, et se mit à parler avec empressement."Malgré mes piètres talents de démagogue, je crois qu'il est de mon devoir de donner à la dame et au Seigneur de la cité les dernières nouvelles. La dragonne d'or ainsi que l'Elfe qui l'accompagne sont allés se reposer. Le dernier sembla fort chamboulé, et à sûrment besoin d'un peu de tranquillité pour remettre de l'ordre dans ses sentiments. Il reste pour le moment avec notre hôte. La dragonne a été soignée aussi bien que possible. j'ai fait tout ce qui était en mon pouvoir, et ses blessures externes cicatriseront avec le temps. Mais elle semble plus gravement atteinte. je m'emploierai cete nuit à trouver un remède, avec les indications qui m'ont été données."
Elle marqua une petite pause et reprit son souffle, puis continua d'un ton moins sévère et plus doux.
"Et deux amis souhaitement vivement s'entretenir avec toi, Estel. Désires-tu que je descende avec toi, ou que je les fasse monter?"

Aragorn glissa doucement ses doigts dans ceux de la main d'Arwen et les serra tendrement.
Il eu un sourire désolé pour sa dame : décidément être roi des hommes signifie être fort peu pour soi et les siens et tout pour les autres.
Ce sourire à Arwen était la marque de leur destin.

Aragorn se tourna vers Elendaë qu'il regarda avec gentillesse.

Aragorn : "Quelle grande tristesse que d'apprendre que la dragonne d'or n'est pas hors de danger comme je le suis moi même.... Il faudra demander au peuple de prier les Valars pour le salut de celle qui les a sauvé. Donne des ordres à Valtair en ce sens, qu'il le fasse annoncer par les crieurs publiques.
Fais tout ton possible Elendaë, je mets tous les moyens disponibles que tu jugeras nécessaires à sa guérison à ta disposition.
Chevaucheurs, herboriste, physicien, vide les caves de tous les apothicaires de la ville s'il le faut : elle doit vivre !"

Aragorn se redressa un peu sur son lit pour s'assoir et s'adosser. Il posa délicatement la main sur l'a fine épaule d'Arwen. Il aimait sentir dans main forte cette fragilité féminine : un homme, un roi comme les autres, aime à se sentir protecteur. Il poursuivit :

Aragorn : "Pour notre mystérieux archer, je suis bien aise de le savoir sauf. Qu'il se repose autant qu'il le veut, il est notre hôte pour autant de temps qu'il le désirera..
Pour l'heure, je suis encore trop faible pour me lever sans risquer de rouvrir ma blessure..."

Aragorn regarda Arwen et sourit.

Aragorn : "Mais pour des amis (on va dire que tu m'a donné les noms Razz

), je veux bien leur donner audience ici même. Tu peux aller les chercher Elendaë"

Il pressa un peu l'épaule d'Arwen et lui chuchotta.

Aragorn : "Ma mie restez avec moi je vous prie. Mes amis sont aussi les vôtres."

[Ben, non, pas de noms, surprise^^]

Elendaë salua.

"Soyez assuré, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir, Estel. Dussai-je aller au coffins de l'univers. J'ai peut-être une piste à suivre."

La dame s'approcha un peu du lit et vérifia le pansement d'Aragorn, et lui sourit.

"Je reviendrai changer ceci dans la soirée, s'il vous en sied ainsi."

Elle se retira en un bruissement de tissu et ses pas s'éloignèrent dans le couloir.

Des pas dans le couloir... Elendaë, Anaëlle, Legolas et Gandalf arrivaient près de la chambre du Seigneur de la Cité. La dame elfique frappa quelques coups à la porte, et, sachant qu'ils étaient attendus, ouvrit délicatement et s'inclina avec respect.

"Maître Mithrandir et le prince Legolas de la Forêt Noire!"

L'annonce faite, elle chuchota quelques mots à Annaëlle, inclina la tête, et disparut à nouveau. La jeune servante, quant à elle, resta près de la porte, au service des deux voyageurs.

Entendant ces deux noms, Arwen réprima un cri de surprise. Se tournant vers la porte, le sourire aux lèvres, elle serra un peu plus fort la rude main de son époux et porta son autre main à son cou où était nichée l'étoile du Soir qu'elle pressa contre son coeur...

*Pour une surprise...*

[Hj bon et bien si nos cher petit Gandalfou et Legolou ne se pointe pas vite fait, on va les remplacer comme par magie par Fingolfin et Raganrolf Razz

c beau la magie lol]

Aragorn se détendit et se redressa pour avoir l'air plus en forme.

Mais soudain on entendit un bruit fort de respiration venant de la droite du lit : c'étaitFalator qu'on avait oublié et qui commençait à ronfler.

Cela amusa beaucoup le roi qui pouffa discrètement.

Le tableau était charmant : une reine dans les bras de son roi, un roi dans le coeur de sa reine et un hobbit courageux qui ronflait à leurs pieds.
Voilà de quoi oublier pendant quelques instants les tracas causés Throkmaw et autre serviteur du mal

Les minces rayons du soleil de l'aube n'avaient pas encore même tenté de percer les rideaux de la chambre du Roi de la Cité de Pierre, et seul un petit serpent jaune coulait au sol et éclairait d'une lumière blafarde la pièce. Quelques perles de rosée glissaient légèrement le long de la vitre et y dessinnaient d'étranges dessins. L'air frais du dehors s'infiltrait en un petit vent, dont l'odeur agréable remplaçait fort avantageusement le relent de renfermé et de baume qui empestait jusque sur les murs. Un matin comme un autre éveillait la belle Minas Tirith et ses habitants...

La poignée de la porte tourna en grinçant un peu, et l'importun matinal grimaça en l'entendant. Une fine silhouette gracile se glissa par l'entrebaillement et referma derrière elle. Elle relacha le pan de sa robe qui retomba en un bruit de crissements de soie au sol.
L'ombre posa à l'aveuglette l'étrange fardeau qu'elle transportait sur une table basse, contre le pied de laquelle dormait un petit personnage, et alla ouvrir avec toute la délicatesse d'une mère le rideau pourpre et or qui cachait le vue magnifique qu'on avait du palais. Une bouffée d'air vint refroidir la pièce trop chaude et titiller les narines d'une douce odeur de printemps tandis que la fenêtre s'entrebailla.
La dame qui venait d'accomplir ces quelques tâches ingrates souria avec bienveillance vers le Roi endormi. Même décoiffée et habillée d'une robe défraichie et sale, on ne pouvait nier l'air noble et le maintien éternellement jeune et beau d'Elendaë. La dame elfique poussa un petit soupir, et alla s'asseoir en attendant le réveil de son souverain...

[Burps... Ca y en être vachement poétique^^. Un peu trop, peut-être...]

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