Pippin à Edoras

Pippin, suivis de l'elfe qui lui servais de guide depuis Fondcombe, arrivèrent aux portes d'Edoras après une semaines de voyage.

Pippin: Ouf, enfin ! J'ai hate de retrouver un bon lit bien douillet et surtout le roi Eomer ! Et peux-être qu'avec de la chance, la dame Eowyn sera presente.

L'elfe: Je ne pense pas qu'elle sera ici, maître Hobbit. Car aux dernières nouvelles, elle viverais au Gondor avec le Capitaine Faramir.

Puis il franchirent les imposantes portes pour rentré dans la citadelle.

Gimli était présent depuis peu à Edoras, dans l'espoir d'y voir Dame Eowyn. Il fut déçu quand un Rohirrim lui annonàa son absence. Peu lui importait. Comme il s'était fixé le but de revoir ses amis, il allait arriver plus tôt que prévu à Minas Tirith.
Il se souvenait d'Edoras, quand il leur avait fallu fuir vers le Gouffre de Helm, pour résister à la puissante armée de Saroumane. Maintenant, la capitale du Rohan resplendissait de vie. Mais ce n'était pas le souvenir le plus chaleureux, il en avait un qu'il l'avait marqué et l'avait gardé pour lui, en bon nain. Leur bière avait un goût...presque divin. Il en avait demandé aussitôt arrivé, prétextant une soif importante suite à son voyage harassant.
Puis au moment où il allait reprendre son voyage, il fit une silhouette qui lui était vaguement familière

*Un hobbit ? Ici ? *

En plissant des yeux, il reconnut le visage du hobbit

- Peregrin Touque !

En attendant son nom, le Hobbit tourna la tête vers celui qui l'avait appelé et reconnu aussitôt Gimli, l'un de ses compagnons de la Communauté de l'anneau.

Pippin: Gimli ? Mais quel bonne surprise !
Il s'avança vers son vielle ami, le sourire au lèvres.
- Mais qu'es ce qui vous amène ici ?"

Gimli s'était avancé lui aussi vers le hobbit, et dans sa grande joie, avait enlassé le hobbit, bien sûr en modérant sa force. Puis après les retrouvailles...

- J'allais vous retourner la même question, Maître Pippin. Je suis venu ici pour voir Le Roi Eomer et Dame Eowyn, histoire de se raconter un peu le bon vieux temps, mais malheureusement, leurs devoirs les a appelés ailleurs. J'allais justemen repartir, pour aller à Minas Tirith. Cela vous tenterait-il de m'accompagner ? Ainsi nous reverrons ainsi Aragorn. Qui sait... Il s'est sans doute plongé dans de nouveaux ennuis...

Pippin : Vous aussi ? He bien mon cher Gimli, je vous informe que moi même et mon guide (l'elfe salua le nain d'un signe de tête ), nous nous rendions justement au Gondor. Histoire de revoir ses amis, et de s'amuser un peu.
Le Hobbit regarda autour du nain comme si il s'attendait a voir quelqu'un d'autre.
- Tien, vous avez quittez Legolas ? Est-il partis lui aussi pour les Havres ?"

Il fixa quelques instans d'un regard inquisiteur le guide elfique. Puis il revint sur Peregrin

- Legolas...Hum. Il s'occupe d'affaire... d'Elfe. j'ai cru entendre qu'il voulait lui aussi aller à la Cité Blanche. Je suppose que nous le retrouverons là-bas.

Cette pensée lui réchauffa le coeur, effaçnt le sentiment austère qu'il avait eu en voyant l'elfe qui avait guidé le hobbit

Pippin: je l'espère.
Le Hobbit s'imagina retrouver ses amis à la Minas Tirith, cette pensé lui donna un sourire.
Puis, il regarda attentivement le nain et vit qu'il était sur le point de partir.
- Je suppose que vous vous prepariez pour votre voyage ? He bien, laisser moi l'après midi pour me remettre bien en forme et je vous accompagnerais.

Elfe: Maintenant que vous avez un bon guide, je vais retourné à Fondcombe.
Ce fut un plaisir de vous rencontrer maître nain."
Et il se retourna et partis chercher son fidele cheval.


( je fait partir l'elfe parceque sa me saoul de faire deux perso. )

Gimli ne vit même pas un signe de la main pour le guide et ne le regarda même pas partir

- Vous pouvez remerciez le ciel, Maître Hobbit. Je m'apprêtais à partir. Vous avez failli me rater de peu. Je veux bien attendre, mais dans ce cas-là, dans la taverne où je me suis arrêté quelques instants. Elle est idéale pour se remettre de la fatigue d'un voyage

Il repensa surtout à la nouvelle chope de bière qu'il allait s'offrir

Lothiriel s'étira en sortant sur le balcon de sa chambre. Son amour pour Eomer ne changeait pas avec les années. Le jeune couple était aussi fougueux qu'autrefois et Lothiriel espérait que cela serait pour longtemps encore. Sa chevelure brune virevolta autour de sa tête sous la brise. Son regard parcourut son royaume. Comme elle était heureuse ici. Qui aurait crut que la petit fille de Dol Amroth allait conquérir le coeur du futur Roi du Rohan? Certainement pas elle! Un mince sourire naquit sur ses lèvres satinée.

À ce moment, elle remarqua deux formes en contrebas. Toutes deux étaient assez petites, bien que l'une ressembla plutôt à un enfant. Au début, elle crut que Elfwin était rentré. Mais son enfant était légèrement plus grand et possédait une chevelure flamboyante. Donc, qui pouvait bien être ces deux formes? Les échos de leurs paroles se répercutèrent jusqu'au balcon et Lothiriel n'eut désormait plus de mal à reconnaître les individus. Gimli et Pippin! Deux vieux amis avec qui elle avait combattu lors de la Guerre de l'Anneau. Elle se demandait s'ils la reconnaîtraient...?

Lothiriel décida de descendre s'en assurée. Sa belle robe traîant sur ses pas, la belle rejoignit l'extérieur avec célérité. Sa grace s'épanouit au soleil alors qu'elle descendait les marches de sa demeure.

"Gimli! Pippin! Je suis si heureuse de vous voir! Qu'elle bon vent vous amène au Rohan?"

Lothiriel se rapporocha davantage et put observer à loisir ses bons amis. Ils n'avaient presque pas changés!

Au moment où il allait accompagner le hobbit vers la taverne, il entendit son nom à ses oreilles. Il se retourna et découvrit la personne qu'il l'avait appelé.

- Dame Lothiriel ! s'exclama-t-il, tout content de la voir

Il se râcla la gorge et reprit un ton plus solennel. Il se trouvait trop...sentimental ces derniers temps

*cela ne convient pas à l'image que doit ce donner un nain...*

Il inclina la tête en signe de respect

- Dame Lothiriel. C'est un plaisir de vous revoir. Et vous êtes toujours aussi resplendissante...

Il savait que les femmes humaines aimaient les compliments. Intérieurement il souriait

-... Nous étions venu à Edoras pour voir votre époux le Roi Eomer, qui, je le regrette, n'ets point avec vous.

Peregrïn fit se pencha pour saluer la femme.

- Vraiment ! s'exlama t-il le sourire aux lévres ; Je ne m'attendais pas à rencontré autant de monde !
Je suis si heureux de vous revoir !"

Le sourire de la dame s'élargit. Ainsi ils ne l'avaient pas oublier! Cela fit chaud au coeur de Lothiriel. Elle rougit au compliment du maître nain. Elle ne se souvenait pas d'une telle galanterie.

"Je vous retourne le compliment Maître Nain. Vous ne m'avez jamais parut en aussi bonne forme!"

Pippin s'inclina à son tour. Lui aussi semblait très heureux de la revoir. Les yeux pétillants, la jeune femme s'adressa à lui.

"Moi aussi je suis très heureuse de te revoir Pippin, tu m'as tellement manquer! Vous m'avez beaucoup manquer tous les deux!"

Ainsi ils étaient venus pour voir son mari. Oui, Eomer devait être partit à la recherche d'Elfwin maintenant. Elle-même y serait allé si il n'avait pas fallut que quelqu'un reste pour veiller au château.

"Je suis désolé, mon époux est partit à la recherche de notre fils. Une autre fugue vous comprenez..."

Sa mine devint plus triste. Elle ne comprenait pas pourquoi son fils était toujours ailleurs. Il aurait dû être heureux, au Rohan. Pourquoi était-il si effrayé? Avec le temps, Lothiriel s'était dit que s'était de sa faute. Elle ne devait pas être assez aimante, ou gentille ou... Elle ne savait plus quoi faire pour garder son fils auprès d'elle.

Lothiriel se rendit compte qu'elle pouvait avoir l'air désespérée. Aussitôt, elle reprit une mine réjouit et sourit à ses vieux compagnons.

"Vous le trouverez probablement à Minas Thirith, enfin je crois... Je vous accompagnerait volontiers mais apparament, je dois rester pour représenter la royauté au Rohan."

Son ton en disait long sur ce qu'elle pensait de cet ordre. Elle voulait partir, aller à la recherche de son fils, chevauchée dans les prairies de son royaume. Elle n'en pouvait plus de rester cloîtrer sous ses murs. En fait, elle ressemblait peut-être plus à son fils qu'elle ne le pensait...

- ah...l'impétuosité de la jeunesse. Cela me rappelle certains jeunes hobbits...

Il jeta un regard moqueur à Peregrin

- Il est regrettable que ce genre de situation vous arrive. Vu la détermination du Roi Eomer, il arriva à le retrouver.

Peut-être avait-elle raison, il allait sans doute les retrouver là-bas. Pourtant, au fond de lui-même. il en étais pas aussi sûr de cela

- Une visite rapide à la Cité Blanche vous changerait les idées, dame Lothiriel. Aucun danger ne menace Edoras pour le moment

Peregïn hocha vivement la tête.

- Oui, venez donc avec nous, dit-il d'un ton joyeux ; Cela nous ferais extrêmement plaisir de vous avoir en notre compagnie !

La joie de Pippin était à son comble, depuis son départ, il avait rencontré nombres de ses amis.

Il eu une pensé envers Merry qui se trouvait toujours là-bas.
*Quand je lui raccontera mon voyage, jamais il voudra me croire* pensa t-il en voyant la t^te de son ami étonner.

Lothiriel sourit à l'allusion de sa jeunesse. Bien qu'elle soit épouse et mère, il était vrai qu'elle était encore jeune. Il n'y avait pas si longtemps, elle chevauchait aux côtés d'Aragorn, et encore avant cela, elle prenait simplement soin de son cheval avec son père et ses frères... Aujourd'hui les choses avaient bien changé.

La jeune dame hocha à nouveau de la tête. Elle était la plus heureuse des femmes et pourtant son fils ne pouvait s'empêcher de rajouter une ombre à se tableau. Lorsqu'elle le retrouverait, ou dès qu'Eomer le ramènerait, il faudrait qu'elle ait une discussion avec lui. Elle devait le comprendre.

Alors, Gimli l'invita à se joindre à eux pour leur voyage à la Cité Blanche. Un large sourire illumina les traits angéliques de la Reine. Elle n'attendait que cela! Elle lança un sourire complice à Pippin, qui semblait extraêment heureux à cette idée.

"Rien ne me ferait plus plaisir mes amis! Laissez-moi donner quelques directives et je serais toute à vous!"

Lothiriel tourna le dos à ses amis et regagna le château à la hâte. Elle fit quérir l'intendant et lui donna ses ordres par rapport à l'entretien de sa demeure en son absence. Elle lui dicta comment administré le royaume en attendant son royaume et surtout, elle lui dit de ne pas hésiter à envoyer un messager en cas de besoin. Finalement, elle fit un détours par sa chambre pour prendre quelques affaires. Finalement, elle revint vers ses amis, traînant un magnifique étalon noir derrière elle.

"Voilà, je suis prête. Quand partons-nous?" dit-elle, se voyant déjà galoper sur son étalon, les cheveux au vent...

Pendant que Lothiriel c'était préparé, Pippin était aller se restauré à la taverne. Maintenant, il était en forme pour repartir.

Lui et Gimli partirent attendre la jeune femme devant le portail.
Lorsqu'il l'apperçu, Pippin eu un grand sourire et s'avança vers elle.
- Vous voilà ! lui dit t-il ; Attendez moi quelques instant, je vais chercher ma monture.

Puis il partis vers les écuris d'où il resortis quelque instant après, en trainant un jeune ponney blanc derière lui.

Dimli avait savouré deux ou trois bières à la taverne, savourant comme il se devait ce breuvage, comme un devoir de nain. Puis sous les empressements de Peregrin, il sortit de la taverne et rejoignit le hobbit.
Il tenait dans une main les rênes d'un petit poney brun, bien rondouillard et au dos bien large. Une selle y était attaché et quelques affaires du nain y pendaient.
Vint les rejoindre Lothiriel.
Il vit son puissant étalon et se rembrunit. Il comprit qu'ils allaient devoir chevaucher.
Certes il s'était quelque peu améliorer en équitation. Il tombait moins.
En réalité sa monture placide était généreuse avec lui, elle lui facilitait la monte en prenant soin de poser ses sabots sur le sol le plus stable.
Après avoir grommeler intérieurement, sa barbe remuant à peine aux mouvements de ses lèvres crispées :

- Si vous êtes prête, ainsi que mon compagnon, nous pourrons prendre le départ

Lothiriel sourit en caressant le poitrail puissant de son étalon. Le poney blanc de Pippin faisant un peu pâle figure à côté mais ce n'était qu'un détail. De teou façon, Pippin, ou tout autre hobbit, n'aurait put monter un cheval comme Hatir.

Gimli à son tour ramena un poney, celui-ci brun. Son sourire s'accentua car elle ne se souvenait que trop bien des exploits de Gimli comme cavalier.

Sans aide, elle grimpa aisément sur son étalon. Le cheval noir ressemblait étrangement aux anciennes montures des Neufs. Hatir était bien vivant cependant.

"Très bien cher amis, que le voyage commence!" s'exclama Lothiriel avec un franc sourire.

Elle éperonna sa monture et il partit en galopant. Les trois amis se dirigèrent rapidement vers la Cité Blanche, là où Lothiriel espérait bien retrouvé son fils et son époux.

(Prochain post=>Cité Blanche)