Elestel était arrivé a Minas Thirit, où résidait encore sa vieille mere, la veille, cela faisait 3 mois qu'elle n'était pas venu. Cette cité blanche, et si haute, l'avais toujours fascinée, quoiqu'elle la trouvât un peu trop pavée et manquant de verdure. Mais là elle resta bouche bée en passant les lourdes portes du premier niveau, des arbres avaient éclos de fleurs si délicates, rose et blanches, et encraient leurs racines parmit la pierre. Des oiseaux chanteurs tournoyaient au dessus des dédales des rues, nichant dans les branches plutot que dans les tours... En effet, se rappela Elestel, les elfes avaient parler des travailler a la ville. Et bien, ils avaient en effet travaillé.
Les majestueuses et épaisses portes restaient a présent ouvertes tout le jour, et les hommes passaient ici et oubliaient ces temps de malheurs qu'ils venaient de vivre. Elestel s'aperçue soudain qu'elle s'était arretée a contempler la cité du roi, et elle gênait le passage.
-Excusez moi. Fit-elle d'une voix fluette a l'homme bourru qui venait de passer devant elle en la bousculant presque.
Elestel se dirigea alors vers la place principale du premier niveau, et apres quelques temps de marche qui lui parurent interminable, a poser le pied sur les pavés, tout en évitant les marchands et passants qui déambulaient, elle passa ,enfin, sous une voute qui soutenait le deuxieme niveau. L'ombre qu'elle procurait fut quelque peu réparatrice, mais ce fut de courte durée, bientot le soleil vint a nouveau l'éblouir.
Quand la place fut en vue. Elle s'en rappelait tres bien, une fontaine blanche de marbre, les pavés tout autour. Elestel était estaumaquée. Ce nétait plus la place qu'elle connaissait. De l'eau ruisselait des murs pour arriver dans des longues rigoles jusqu'a une fontaine creusée qui ne dépassait pas du niveau du sol. Mais ce n'était pas tout, les rigoles étaient en pierres ainsi que la fontaines, certes, mais les reste était recouverts d'une pelouse soignées et bien vertes, bien douces, où poussaient par-ci par-là quelques marguerites et autre fleurs printanieres.
Elestel ne put s'empêcher d'imiter les enfants qui jouaient avec l'eau pied nu sur l'herbe, et elle retira vite fait ses chaussures, plogeant dans l'eau de la grande fontaine ses jambes. Cela lui fit tellement de bien, elle se sentait reposée et de nouveau légère, et les ondoiements des flots dûe au jet d'eau lui faisait un massage improvisé.
Lorsqu'elle se sentit seule, soudain. Les gens étaient partis. Non, certains couraient encore, en criant "la dame du Rohan ! La dame du Rohan !" Elestel ne pouvait rater cela. Elle sortit en vitesse de l'eau, attrapa ses chausses avec la mains, et, sans prendre la peine de les remettre, courut derriere tout le monde.
Quand elle arriva a une grande place. Mais elle était bondées et Elestel ne voyait rien de la jeune dame Rohirrim, malgré tout ses éfforts pour se hisser sur la pointe des pieds. Par contre, sa voix portait loin, la voix d'une femme courageuse et sûre d'elle, la voix d'une future reine. Elestel ne perdit pas une miette du discourt, et lorsque la dame eut terminé, applaudir bruyamment avec les autres.